preloader

Article

Côte d’Ivoire – Adjamé : des séparateurs sur les voies pour mettre fin au désordre dans la circulation.
Côte d’Ivoire - Adjamé : des séparateurs sur les voies pour mettre fin au désordre dans la circulation.

Côte d’Ivoire – Adjamé : des séparateurs sur les voies pour mettre fin au désordre dans la circulation.

Separateur de voies Adjamé_Agban_RCI_2021_CIV_1
Des séparateurs sur les voies pour mettre fin au désordre dans la circulation.

Côte d’Ivoire - Adjamé : des séparateurs sur les voies pour mettre fin au désordre dans la circulation.

Le désordre occasionné par les transporteurs, notamment les conducteurs de minicars plus connus sous le nom de gbakas et taxis communaux dans la commune d’Adjame va être réglé progressivement par la pause de séparateurs centraux sur certaines voies.

L’information nous a été donnée par Mohamed Traoré, Superviseur et coordinateur des activités sur le boulevard Nangui Abrogoua au cours d’un entretien.

Cette opération de sécurité et de facilitation de la mobilité a même déjà commencé. En effet, des barres métalliques ont été installées au milieu de la route partant du rond-point de Liberté en direction du camp de gendarmerie d’Agban.

« Elles ont été installées pour mettre un terme aux embouteillages et au désordre provoqués par les transporteurs. Ils préfèrent tourner sur place plutôt que de faire le rond-point.

Avec les barres métalliques, ils seront contraints de le faire ». Ce sont des séparateurs métalliques du même genre qui seront, à en croire notre interlocuteur, mis sur les autres voies concernées par le projet. Il s’agit du tronçon allant jusqu’au niveau de la gendarmerie Agban.

Il y a également la route partant du rond-point vers l’échangeur de Liberté. Pour ce faire, les autorités municipales sollicitent l’appui des agents de la police nationale.

Les séparateurs métalliques ont été préférés au béton en ce sens que le béton selon Mohamed Traoré est très encombrant comparativement. De surcroit explique-t-il « des individus urinent sur le béton, et d’autres y jettent des sachets d’eau ».

Interrogés, les transporteurs n’ont pas fait de difficultés à reconnaitre les accusations portées contre eux. C’est le cas de Tanoh Richard, chauffeur de gbaka de la ligne Adjamé Liberté Abobo.

Il trouve d’ailleurs que l’installation des barres métalliques est une bonne chose.

C’est la même appréciation qui est faite par Kamagaté Ladji, chauffeur de woro-woro, assurant la ligne Liberté Williamsville. Prenant le contre-pied des intervenants précédents, Zigbelo Houphouët trouve que les barres métalliques rétrécissent la voie.

Tandis que, Koné Abdul Karim, commerçant de chaussures situé non loin de la pharmacie Makissi et un responsable syndical des gbakas, de la ligne Adjamé Abobo, disent se soumettre à la décision des autorités municipales.

Verified by MonsterInsights