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Devoir de mémoire : Politique – 19 septembre 2002 : Des Ivoirienes et Ivoiriens s’en souviennent.
Devoir de mémoire : Politique - 19 septembre 2002 : Des Ivoiriennes et Ivoiriens s’en souviennent.

Devoir de mémoire : Politique – 19 septembre 2002 : Des Ivoirienes et Ivoiriens s’en souviennent.

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Devoir de mémoire : Politique - 19 septembre 2002 : Des Ivoirienes et Ivoiriens s’en souviennent.
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L'affaire remonte à septembre 2002. Le général Gueï est tué par balle le jour d’un coup d’Etat manqué contre Laurent Gbagbo. Hier, les avocats de la défense ont dénoncé un procès politique. Le procureur militaire, lui, a requis la prison à perpétuité pour les deux principaux accusés, en l’occurrence le général Dogbo Blé, l’ancien commandant de la Garde républicaine et Anselme Seka Yapo, ex-aide de camp de Simone Gbagbo.

Devoir de mémoire : Politique - 19 septembre 2002 : Des Ivoiriennes et Ivoiriens s’en souviennent.

La jeunesse de Côte d'Ivoire et d'ailleurs prenez le temps d'écoute attentivement la vidéo ci-dessus relatant les péripéties et les manigances de soi disant hommes politiques peu fréquentables et qui ont déployé la roublardise, la haine, la xénophobie, le tribalisme pour terroriser le peuple de Côte d'Ivoire.

19 septembre 2002 : Des Ivoiriennes et des Ivoiriens s’en souviennent – aujourd’hui vous vivez en paix mais n’oubliez pas ce qui nous ai arrivé dans ce pays (Xénophobie, tribalisme, mensonge et achat des consciences c’était cela le projet politique de ceux qui ont crée la chienlit dans notre pays.

 

Cela fait exactement vingt-deux ans que le Général Robert Guéi a été assassiné par des militaires en Côte d’Ivoire.

Un assassinat perpétré dans les premières heures d’une rébellion qui a précipité le pays dans le gouffre d’une crise militaro-politique de près de huit ans.

Les Ivoiriens se souviennent encore de cette période douloureuse qu’ils ne veulent plus revivre. Ils souhaitent vivement la paix.

Amidou Sanogo, commerçant résident à Tiébissou :

« La guerre n’est pas une bonne chose »

« La mort de Guei Robert m’a trouvé à Tiébissou. Ca s’est passé à Abidjan, certes, mais on a ressenti la tristesse chez nous ici.

Quand j’ai appris la nouvelle de sa mort ce jour-là, j’ai compris que nous allions plonger dans une guerre. Parce qu’un Président qui est tué, ce n’est pas une bonne chose pour le pays.

On a vu ce qui s’est passé au Rwanda et au Liberia. Vraiment la guerre n’est pas une bonne chose ».

Coulbaly Salimata, ménagère à Cocody :

« J’espère qu’on ne vivra plus ça encore. On veut la paix pour notre pays »

« J’étais encore très jeune à ce moment. Nous habitions à Abobo, en famille.

On voyait les militaires passer en tirant. C’était un cauchemar que nous ne voulons plus revivre.

Quand on fait le bilan, on n’a rien gagné, à part des pertes en vies humaines. On aurait pu éviter cela, mais malheureusement c’est arrivé.

J’espère qu’on ne vivra plus ça encore. On veut la paix pour notre pays ».

« Il est temps que les leaders politiques nous aident à éviter les crises »

« On a connu beaucoup de crises dans notre pays. Il a y eu 2000 et 2022. De 2002 jusqu’à l’élection présidentielle de 2010, marquée encore, par une crise.

Comme si ça ne suffisait pas, en 2020, il y en a eu. Je pense qu’il est temps que les leaders politiques nous aident à éviter les crises.

Dans un an on aura une élection présidentielle. Il faut qu’eux-mêmes sensibilisent les électeurs, les populations à ne pas tomber dans la violence.

Il faut la préserver la paix, car rien ne vaut la paix ».

J.C., agent des forces de l’ordre :

« Les militaires veulent que les politiciens s’entendent pour éviter la guerre »

« A cette époque j’étais encore étudiant et résident à Korhogo. Je n’étais pas en ce moment dan les rangs des forces de l’ordre.

De ma position ancienne de civil à ma position actuelle de militaire, je vous assure que les regards changent.

En temps de guerre, on mesure l’importance et la valeur de la paix. On aura beau combattre, mais l’objectif du combat, c’est la paix.

Alors il faut privilégier le dialogue pour la paix. Même les militaires veulent que les politiciens s’entendent pour éviter la guerre ».

Propos recueillis par Moussa I. Koné  Lebanco.net

1 –Côte d’Ivoire : Assassinat de Robert Gueï en Côte d’Ivoire: le jury délibère.        Radio France internationale — Wikipédia

 

 

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Plus jamais cela en Côte d'Ivoire - Que notre jeunesse le sache et en tire les leçons afin d'éviter de suivre ces soi-disant politicien assoiffé de sang des enfants des autres. Ceux qu'ils ont martyrisé ne sont-ils pas leur soutien aujourd'hui ? l'avenir nous le dira.

Devoir de mémoire à l’attention de la jeunesse de notre Pays (la Côte d’Ivoire) – Les errances de Gbagbo, le tribalisme, la xénophobie érigés en méthode de gouvernance – l’entente avec le natif de Kofiplé afin de faire durer la guerre dans le but de s’enrichir, les tueries de masse (le Charnier de Yopougon etc..). Le calvaire des Ivoiriennes et Ivoiriens relaté par ceux qui l’on vécu (Eclaireur Pro Vérité).

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Plus jamais cela en Côte d'Ivoire - Que notre jeunesse le sache et en prenne de la graine. Savoir distinguer le pilleurs de la République, grilleurs d'arachides et les autres Ceux qu'ils ont martyrisé ne sont-ils pas leur soutien aujourd'hui ? l'avenir nous le dira.

Devoir de mémoire à l’attention de la jeunesse de notre Pays (la Côte d’Ivoire) – Le calvaire des Ivoiriennes et Ivoiriens relaté par ceux qui l’on vécu [VERSION COMPLETE]     (Eclaireur Pro Vérité).

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