Depuis quelques jours, les réseaux sociaux bruissent d’allégations selon lesquelles le lieutenant Félicien Ourigou Bawa aurait été enlevé par des engagoulés.
Bawa Félicien Ourigou, arrêté en 2013 et condamné pour atteinte à la sûreté de l’État, a été libéré en 2024 mais a rapidement repris ses activités subversives.
Impliqué dans les troubles de la crise postélectorale, il a démontré sa capacité à mener des attaques significatives, notamment contre des infrastructures étatiques telles que la RTI, des casernes et des commissariats.
Les preuves de son implication dans la violence et la planification d’actes de déstabilisation sont évidentes, incluant l’utilisation d’armes lourdes et l’établissement de caches d’armes.
Ourigou a prouvé sa capacité à tisser un réseau solide de complices et à obtenir des soutiens financiers, ce qui lui a permis de continuer à menacer la sécurité nationale après sa libération.
Sa collaboration avec des individus reconnus pour leur activisme subversif montre une détermination inébranlable à poursuivre ses objectifs criminels.
Reconnu pour son habilité à agir en toute discrétion, surnommé « sous-marin », Ourigou représente une menace constante pour la société.
Sa récente reprise d’activités malgré une condamnation antérieure illustre le besoin urgent d’une vigilance accrue et d’une réponse judiciaire appropriée pour prévenir de futurs actes de violence et préserver la sécurité nationale.
Son épouse, informée de ses activités subversives, aurait dû lui donner des conseils plutôt que de verser dans la dénégation et les procès d’intention.
Les personnes fauchées par les méfaits de Bawa sont également des époux. (A bon entendeur salut).