Au terme de ce qui fut en octobre 2020 en Côte d’Ivoire, l’une des plus graves impostures politiques du pays, à savoir la contestation du suffrage universel et la tentative de subvertir la légitimité démocratique sous le couvert d’une « désobéissance civile frauduleuse« , les acteurs de cette entorse à la démocratie sont définitivement politiquement discrédités aux yeux d’un peuple ivoirien qui en sait beaucoup plus en matière démocratie, en termes de jugement de bon sens et d’appréciation de ses intérêts de classe bien compris

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Ce peuple s’est senti trompé et trahi par des imposteurs qui tentèrent de le désapproprier et de le retourner, encore une fois de plus, contre lui-même par la ruse sous le couvert d’un programme frauduleux.

La réputation est un capital politique en démocratie et notamment dans une démocratie d’opinion.

Et celle des acteurs de « la désobéissance civile » d’octobre 2020 qui n’était rien de plus qu’une insurrection oligarchique télécommandée est définitivement entachée

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En ce discrédit politique et en ce blason définitivement sali repose la défaite électorale prévisible en 2025, des acteurs de cette tentative d’escroquerie politique;

cela d’autant plus que dénués d’imagination et de culture démocratique, ils recyclent les mêmes actions autocratiques et brassent les mêmes thématiques oligarchiques.