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Près de 1700 milliards : les États-Unis projettent un avenir radieux pour ce secteur en Côte d’Ivoire.
Près de 1700 milliards : les États-Unis projettent un avenir radieux pour ce secteur en Côte d'Ivoire.

Près de 1700 milliards : les États-Unis projettent un avenir radieux pour ce secteur en Côte d’Ivoire.

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Selon les États-Unis, la Côte d'Ivoire d'Alassane Ouattara peut réaliser un bond dans le secteur de la viande, avec des projections atteignant 2,2 milliards de dollars (environ 1700 milliards FCFA) d’ici 2027..
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Près de 1700 milliards : les États-Unis projettent un avenir radieux pour ce secteur en Côte d'Ivoire.

Côte d'Ivoire milliards viande

Crédit Photo : OHADA / DR.

 

 

Selon les États-Unis, la Côte d’Ivoire d’Alassane Ouattara peut réaliser un bond dans le secteur de la viande, avec des projections atteignant 2,2 milliards de dollars (environ 1700 milliards FCFA) d’ici 2027.

Concrètement, selon les dernières données du Département américain de l’agriculture (USDA), l’ambition est grandement réalisable.

Et pour cause, d’après ses chiffres, le marché de la viande en Côte d’Ivoire devrait connaître une augmentation substantielle, passant de 1,5 milliard de dollars en 2022 à 2,2 milliards de dollars en 2027.

 

Pour ce faire, la consommation individuelle de viande devrait atteindre 35 kg par personne d’ici 2027, contre 31 kg en 2022, témoignant d’une évolution significative des habitudes alimentaires.

Cette progression s’explique notamment par l’urbanisation croissante et l’amélioration du niveau de vie des Ivoiriens.

La volaille domine le marché avec des perspectives atteignant 700 millions de dollars d’ici 2027, représentant près d’un tiers du marché total.

Le gouvernement soutient activement ce secteur avec une politique de protection incluant une taxe de 1000 FCFA par kilogramme de volaille importée.

Le secteur bovin connaît également une forte croissance, avec des importations s’élevant à 64,5 millions de dollars en 2023, soit 40% des importations totales de viande du pays.

La production locale ne couvre actuellement qu’un tiers des besoins.

Le marché du porc émerge particulièrement dans la région d’Abidjan, avec une consommation estimée entre 60 000 et 100 000 tonnes.

Malgré un taux d’importation de 80%, cette viande gagne en popularité grâce à son prix accessible et son intégration dans la cuisine locale.

Cédric A             

 

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