Dans le silence complice de leurs consciences, ils connaissaient l’authenticité de vos racines ivoiriennes, Excellence Alassane Ouattara.

Ils savaient. Tous, ils savaient la vérité.

Dans le silence complice de leurs consciences, ils connaissaient l’authenticité de vos racines ivoiriennes, Excellence Alassane Ouattara.

Pourtant, aveuglés par l’égoïsme tribal et les ténèbres de la xénophobie, ils ont choisi le mensonge comme arme, laissant planer sur votre nom cette ombre injuste, cette accusation infamante qui a blessé votre âme et sali l’honneur de vos ancêtres.

Jamais leurs voix ne se sont élevées pour proclamer la vérité.

Jamais leurs mains ne se sont levées pour essuyer la boue qu’ils jetaient sur votre visage.

Et aujourd’hui encore, certains persistent dans l’erreur, prisonniers de leurs propres illusions.

Quelle tristesse de constater que la politique peut ainsi corrompre l’âme humaine, au point de sacrifier sa dignité sur l’autel du tribalisme et de la haine ethnique !

Mais vous, Excellence, vous incarnez la victoire de la patience sur l’adversité, du pardon sur la vengeance.

Votre histoire rappelle celle du prophète Youssef trahi par ses propres frères, jeté dans les ténèbres du puits, vendu comme esclave, emprisonné injustement.

Comme lui, vous avez été humilié, calomnié, dépouillé de votre honneur.

Comme lui, vos “frères” vous ont traîné dans la boue pendant que vous rêviez d’un destin plus grand.

Mais la main divine ne sommeille jamais.

Allah, dans Sa sagesse infinie et Sa justice immuable, a transformé votre épreuve en couronnement.

Il vous a élevé de la poussière de l’humiliation au trône de la Côte d’Ivoire, accomplissant ainsi Sa promesse éternelle : après la difficulté vient la facilité.

Et là où d’autres auraient choisi la vengeance, vous avez choisi la grandeur du pardon.

Là où d’autres auraient banni leurs bourreaux, vous les avez réintégrés sur l’échiquier politique, démontrant que la vraie force ne réside pas dans la capacité de détruire ses ennemis, mais dans celle de transformer la haine en réconciliation.

Votre parcours, Excellence, est une leçon vivante de résilience, de foi et de noblesse d’âme.

Il mérite d’être gravé dans les mémoires, enseigné dans chaque école, médité dans chaque université.

Car vous avez prouvé que la dignité n’appartient pas à ceux qui accusent, mais à ceux qui pardonnent ; que la victoire ne revient pas à ceux qui huent, mais à ceux qui persévèrent.

Longue vie à vous, homme de patience et de sagesse.

Qu’Allah prolonge vos jours, illumine votre chemin, et nous accorde à tous une parcelle de votre compréhension, de votre discernement et de votre grandeur d’âme.

Amine. Amine. Amine.

Car après la tempête vient toujours l’aurore,

et après l’épreuve, la victoire éclatante de ceux qui ont cru.

MO Hamed Zézé Facebook #MHZ.

REMARQUE : Dans les agoras ils ont tous clamer que s’était « Alassane Ouattara » le père de la rébellion et mis cela dans la tête de génération entière d’Ivoiriennes  et Ivoiriens. On sait aujourd’hui par leurs révélations que tout cela était du mensonge cousu de fil blanc. Quel gâchis ?. Malheureusement nos compatriotes en sont mort. L’adage nous dit que la vérité prend les escaliers et que le mensonge prend l’ascenseur eh oui la vérité fini toujours par se savoir. Pauvre de vous.

Issouf Koné Le grand chancelier et Tia Koné ont été reçus par le Président Alassane Ouattara à l’hôtel du Golf en présence de feu le ministre Hamed Bakayoko.