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Les rois et chefs traditionnels déclarent pour autant `ne pas se sentir qualifiés pour participer » à l’accueil de Gbagbo.
Les rois et chefs traditionnels déclarent pour autant `ne pas se sentir qualifiés pour participer » à l’accueil de Gbagbo.

Les rois et chefs traditionnels déclarent pour autant `ne pas se sentir qualifiés pour participer » à l’accueil de Gbagbo.

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Les rois et chefs traditionnels déclarent pour autant `ne pas se sentir qualifiés pour participer » à l’accueil de Gbagbo.

En Côte d’Ivoire, les rois et chefs traditionnels ont « approuvé le retour » en Côte d’Ivoire de Laurent Gbagbo mais déclaré ne « pas se sentir qualifiés pour participer » à l’accueil de l’ex-président, dans une note.

« Le directoire de la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels (CNRCT) salue et approuve le retour du fils au pays qui revient sans haine pour accélérer le processus de réconciliation nationale, nous dit-il.

Quant à l’accueil, la totalité des chefs déclare ne pas se sentir qualifiée pour y participer », indique une déclaration publiée vendredi.

« Nous proposons en tout état de cause que la primauté en toute circonstance soit accordée à la sécurité et à la paix des ivoiriens », ajoute le texte.

Cette déclaration du directoire fait suite à des « échanges avec des émissaires » de M. Gbagbo, porteurs de deux messages.

« Dans le premier message Laurent Gbagbo nous transmettait sa volonté de regagner son pays dans un esprit de paix, et de réconciliation nationale, le deuxième concernait l’accueil que le FPI Pro Gbagbo comptait réserver à son président, et il demandait au directoire de s’associer à cet accueil en lui donnant le plus grand retentissement populaire », a précisé le texte.

Lundi, le FPI Pro Gbagbo a annoncé le retour le 17 juin de l’ancien président, acquitté par la Cour pénale internationale des accusations de crimes contre l’humanité.

Jugée « non-consensuelle » au départ, le gouvernement a finalement pris « acte » de cette date par la voix du ministre de la Réconciliation nationale Bertin Kouadio Konan.

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