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Rentrée académique de l’institut Amadou Gon Coulibaly (IFP-AGC) : Vagondo Diomandé : « Ayez des prestations de qualité pour honorer la mémoire de Amadou Gon Coulibaly ».
Rentrée académique de l’institut Amadou Gon Coulibaly (IFPAGC) : Vagondo Diomandé : « Ayez des prestations de qualité pour honorer la mémoire de Amadou Gon Coulibaly ».

Rentrée académique de l’institut Amadou Gon Coulibaly (IFP-AGC) : Vagondo Diomandé : « Ayez des prestations de qualité pour honorer la mémoire de Amadou Gon Coulibaly ».

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Rentrée académique de l’institut Amadou Gon Coulibaly (IFPAGC) : Vagondo Diomandé : « Ayez des prestations de qualité pour honorer la mémoire de Amadou Gon Coulibaly ».

(Ci-dessous lire) : Ouverture de l'année académique de l'IFP Amadou Gon Coulibaly, quatre ministres y partagent leurs expériences

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité, le général de corps d’Armées Vagondo Diomandé a au nom du Premier ministre Patrick Achi lancé un appel solennel le vendredi 4 juin 2021 à l’hôtel Ivoire a l’occasion de la rentrée académique de l’institut de formation politique Amadou Gon Coulibaly (IFPAGC).

« Ayez des prestations de qualité pour honorer la mémoire de Amadou Gon Coulibaly », dira-t-il au nom de Patrick Achi, parrain de la cérémonie aux personnes retenues pour la formation, mais qui sont en activité.

Quant aux jeunes de cette première promotion, il leur dira de bien suivre la formation. Car pour lui, ils seront les ambassadeurs de cette jeunesse dont le président de la République, Alassane Ouattara, a toujours rêvé

, A savoir une jeunesse qui sera en mesure d’assurer la relève pour une bonne gestion de la nation.

Prenant la parole, le ministre Mamadou Touré, le président de l’IFPAGC après avoir remercié toutes les personnes qui ont aidé à la mise en place de l’institut, a fait savoir que l’une des qualités qui a caractérisé l’homme est la conviction.

Et qu’il agissait toujours avec conviction. Pour celui-ci, la conviction est l’une des valeurs que celui aspire à faire la politique doit cultiver.

C’est principalement d’ailleurs cette valeur que les intervenants du haut panel, qui a eu lieu pour la circonstance, ont mentionné.

Ces intervenants que sont les ministres Anne-Désirée Ouloto, Raymonde Goudou Coffi, Amadou Koné et Zoro Bi Ballo Epiphane.

L’IFPAGC selon les propos tenus par son directeur, en l’occurrence Dr Yao Bertin, a pour objectif de contribuer au renouvellement du débat public par la formation des citoyens aux outils de communication et de défense de leurs convictions.

Afin de permettre aux apprenants de disposer d’outils de renforcement de leurs capacités leur permettant de s’engager dans l’espace politique avec responsabilité et détermination.

Il est ouvert à tous les citoyens, tous les partis et groupements politiques, ainsi que l’ensemble des mouvements et associations de la société civile.

Il propose 2 types de formation : une pour les jeunes de 18 à 35 ans, et une autre pour les cadres et les dirigeants. Aussi, en dehors de ces formations, l’institut compte organiser des rencontres thématiques, des grandes conférences publiques.

Puis accorder des bourses et des subventions à la recherche, et contribuer à la publication de tout support pouvant aider à la formation politique. Les 200 personnes retenues pour cette première promotion suivront une formation de 6 mois.

 

Côte d'Ivoire : Ouverture de l'année académique de l'Institut de formation politique Amadou Gon Coulibaly, quatre ministres y partagent leurs expériences

Côte d’Ivoire : Ouverture de l’année académique de l’Institut de formation politique Amadou Gon Coulibaly, quatre ministres y partagent leurs expériences

L’ouverture de l’année académique de l’Institut de formation politique Amadou Gon Coulibaly a eu lieu aujourd’hui à l’Hôtel Ivoire en présence du Général Diomandé Vagondo, ministre de l’Intérieur et de la sécurité qui a représenté le Premier ministre, Patrick Achi.

Avant le début des cours prévu pour la semaine prochaine, la cérémonie d’ouverture a été marquée par un panel animé par quatre ministres de la République autour du thème « Engagement politique et gestion de l’Etat ».

Il s’agit d’Anne Désirée OulotoRaymonde Goudou, de Zorro Bi Ballo et d’Amadou Koné.

Dans sa communication, la ministre Anne Ouloto présentant l’ancien Premier ministre comme un repère a rappelé qu’elle a été expulsée de l’ANARE en 2005 parce qu’elle a dit haut que le mandat de Laurent Gbagbo était terminé.

« Je l’ai dit en fonction de mon engagement politique. J’ai refusé d’être victime de mon histoire. J’ai choisi d’être acteur de mon histoire », a ajouté, la ministre.

Elle a reconnu que sa vie est une succession de choix, d’engagement pour dire non à l’injustice, à l’impunité, au désordre à l’exclusion.

« C’est ce qui explique mon soutien au RDR et à Alassane Ouattara en 1994 », a conclu, Anne Ouloto.

Raymonde Goudou a pour sa part indiqué qu’elle est un produit de la société civile.

L’ancienne ministre et ancienne militante du PDCI-RDA a annoncé qu’elle doit son entrée dans la politique grâce à son engagement et à sa conviction.

Pour justifier son départ du PDCI, elle a déclaré que son ancien parti politique passait le temps à vilipender Alassane Ouattara.

Raymonde Goudou a révélé qu’elle a passé des moments terribles et elle a été rejetée systématiquement après le retrait du PDCI-RDA du RHDP.

Battue à l’élection législative du 6 mars 2021 à Toumodi, l’ancienne ministre a expliqué qu’elle s’est présentée à ce scrutin pour permettre à ses parents de vivre décemment.

Amadou Koné a eu une autre vision de la politique qu’il jure de ne pas aimer, mais s’y est retrouvée par obligation.

« Je n’aime pas la politique. Je déteste la politique. Je me suis retrouvé dans la politique par obligation », a mentionné, le ministre des transports.

Selon lui, en 1999 pour des filiations, tout bascule. « J’étais traqué. J’ai été victime à titre personnel sans justification. Mon rapprochement avec Alassane Ouattara et Amadou Gon Coulibaly mon cousin. Beaucoup de mes parents étaient décédés, emprisonnés. J’ai trouvé cela inacceptable », a expliqué Amadou Koné.

« Je souffrais de voir que beaucoup de personnes autour de moi étaient malmenées », a-t-il poursuivi.

En définitive, le cousin du défunt Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly affirmé qu’il est arrivé en politique parce qu’il était contre l’injustice.

Il a révélé qu’il n’a jamais rêvé être ministre dans sa vie quand bien même des propositions lui avaient été faites.

Amadou Koné a soutenu qu’il s’est fortement investi dans toutes les missions politiques qui lui ont été confiées, soulignant au passage que Guillaume Soro est pour lui, un ami et un frère.

Aux jeunes qui veulent embrasser la politique, le ministre leur a demandé d’être très bien préparés avant d’y entrer. Car selon lui, dans la politique, il y a la vérité, le mensonge et les coups bas.

Le dernier à intervenir, Zorro Bi Ballo parlant de son engagement a indiqué qu’il s’est retrouvé dans la politique par accident.

« J’avais le désir de voir les choses s’améliorer. C’est pourquoi, j’ai signé le certificat de nationalité de Alassane Ouattara en 1999 quand j’étais juge à Dimbokro », a-t-il ajouté.

Le ministre Zorro est revenu sur le temps de son exil où il a connu la galère et ne souhaite pas que son semblable soit contraint de vivre à l’extérieur du pays.

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