Le PDCI-RDA à l’agonie : Quand Tidjane Thiam abandonne ses troupes dans la misère.

Il a préféré dilapider l'argent du PDCI en signant un contrat Léonien avec un cabinet US qui ont pompé les fonds du parti pour ses nombreux voyages inutiles aux USA et à l'ONU. Des centaines de millions de FCFA inutilement gaspillés...Et voila

Côte d'Ivoire : Benath Company : la société cachée d’Akossi Bendjo dans les paradis fiscaux pourrait honorer les salaires des Agents en la circonstance.

Le PDCI-RDA à l'agonie : Quand Tidjane Thiam abandonne ses troupes dans la misère.

C’est le râle d’agonie d’une institution centenaire, un cri de détresse qui résonne comme un requiem pour un parti jadis glorieux, aujourd’hui réduit à l’état de coquille vide par l’incompétence et le cynisme de sa direction. Le personnel administratif et les agents d’entretien des sièges de Cocody Saint-Jean et du Plateau sont en grève. Leur crime ?. Ce mardi 11 novembre 2025, ce n’est pas une simple grève qui secoue le siège du PDCI RDA. C’est le râle d’agonie d’une institution centenaire, un cri de détresse qui résonne comme un requiem pour un parti jadis glorieux, aujourd’hui réduit à l’état de coquille vide par l’incompétence et le cynisme de sa direction.
Le personnel administratif et les agents d’entretien des sièges de Cocody Saint-Jean et du Plateau sont en grève. Leur crime ? Avoir osé croire qu’on les paierait pour leur travail.
Leur châtiment ? Des mois de labeur sans salaire, des familles plongées dans la précarité, pendant que leur employeur, Tidjane Thiam, s’affiche dans les salons parisiens avec la décontraction d’un touriste fortuné.
Installé confortablement en Europe depuis le premier semestre 2025, le président du PDCI semble avoir oublié un détail dérisoire : son parti agonise. Mais qu’importe !
Pendant que ses employés se demandent comment nourrir leurs enfants, Monsieur Thiam déverse allègrement 290 000 dollars américains dans les poches de cabinets d’avocats et de lobbyistes washingtoniens.
Pour quoi ? Des “conseils” et quelques séances photos à la Maison Blanche, histoire d’alimenter son ego et son storytelling sur les réseaux sociaux.
*Le contraste est aussi obscène qu’édifiant : d’un côté, des ménagères qui tirent le diable par la queue ; de l’autre, un président qui dilapide l’argent des subventions étatiques et des cotisations militantes dans une vanité internationale sans limites.
L’ironie suprême ? Tidjane Thiam n’a jamais cotisé un seul franc CFA de sa vie pour le Pdci . Jamais.
Mais il se sert généreusement dans les caisses comme dans son compte personnel.
Comme si la débâcle financière ne suffisait pas, Thiam a achevé de précipiter le PDCI dans l’abîme en forgeant une alliance contre-nature avec le PPACI.
Cette stratégie désastreuse n’a fait qu’affaiblir davantage un parti déjà exsangue, le vidant de sa substance idéologique et de sa crédibilité politique.
Le PDCI, autrefois pilier de la vie politique ivoirienne, n’est plus qu’un agrégat hétéroclite sans vision, sans cohérence, sans âme.
Et que fait le commandant de ce navire en perdition ?
Il parade en France aux côtés de parias politiques, s’accrochant désespérément à un prétendu “carnet d’adresses magique” qui s’avère aussi vide que ses promesses.
Le voilà réduit à s’afficher avec des aventuriers autoproclamés “panafricons”, ultimes faire-valoir d’un homme qui a perdu toute crédibilité.
La décomposition idéologique du PDCI est désormais totale. Le parti d’Houphouët-Boigny n’est plus qu’un zombie politique, une marque exploitée par un banquier déchu en quête de reconnaissance internationale.
Après les législatives prochaines, il ne restera plus qu’à organiser les funérailles.
Pendant ce temps, au siège, Aziz Thiam, grand-frère du président, tente vaillamment d’éteindre l’incendie. Un pompier bénévole face à un brasier que son propre frère a allumé par négligence, cupidité et mépris.
Une mission impossible, un geste dérisoire face à l’ampleur du désastre.
Quelle tristesse de voir un parti historique réduit à cela. Quelle honte pour ses militants de constater que leur cotisation sert à payer les fantasmes parisiens de leur président plutôt que les salaires de leurs camarades.
Quelle désillusion pour toute une génération qui croyait encore aux valeurs du PDCI.
Le 11 novembre 2025 restera dans l’histoire comme le jour où le personnel du PDCI, au bout du rouleau, a lancé un ultime SOS. Personne n’est venu.
Le capitaine était à Paris, occupé à dépenser l’argent de l’équipage pour se faire photographier avec les puissants du jour.
Le PDCI est mort. Il ne le sait simplement pas encore.
MO Hamed Zézé (Facebook)
1 – Côte d’Ivoire : Benath Company : la société cachée d’Akossi Bendjo dans les paradis fiscaux. 21 May 2018 Author: Anderson Diedri, CENOZO (Investigative Reporting in West Africa 

Les fuyards ont laissé les Agents dans la détresse et sont pur certains entrain de mener la belle vie au bord de la Seine en France.

Il va falloir payer les fins de mois des agents qui font fonctionner la maison PDCI.
