Pulchérie Gbalet a fui, elle est hébergée dans un monastère ou chez un curé Ivoirien en Belgique. Elle ne perd rien pour attendre.

Déclaration de vérité, de justice et de mobilisation.

Pulchérie Gbalet, nous t’avons entendue.

Nous disons ceci : toi qui diffuses la haine depuis ta cachette, écoute la voix des femmes ivoiriennes.

Tu insultes la Nation, tu piétines la mémoire des morts, tu diffames le chef de l’État, tu traites les Ivoiriens de déchets, d’hypocrites, de prostitués etc…

Tu as appelé au désordre, à l’insurrection, à la déstabilisation du pays en bande organisée.

Et dans ton sillage, un gendarme est tombé. Des jeunes ont perdu la vie. Le sang crie. Tu as tenté d’empêcher les élections.

Tu pensais pouvoir faire vaciller la République. Mais tu n’as ébranlé que ton propre nom, car tu es insignifiante dans l’histoire de notre Nation.

Nous, femmes ivoiriennes, ne tremblons pas devant toi. Nous ne te craignons pas. Nous t’attendons.

Nous attendons ta prise pour que tu répondes de tes actes.

Tu répondras devant la loi, devant la mémoire des familles endeuillées, devant la conscience nationale.

Nous sommes celles que tu attaques. Filles des villages, mères des quartiers, bâtisseuses de paix.

Nous sommes les voix qui s’élèvent, les mains qui soignent, les cœurs qui rassemblent.

Nous sommes les gardiennes de la mémoire, les porteuses de la réconciliation, les architectes du développement, les sentinelles de la dignité.

Nous ne nous cachons pas. Nous parlons, nous marchons, nous mobilisons. Notre parole est publique, notre vision est claire.

Notre engagement est scellé dans les cérémonies de paix, dans les tournées de cohésion, dans les actes de transformation.

Nous n’insultons pas.

Nous ne diffamons pas.
Nous répondons par la lumière.
Nous répondons par la dignité.
Nous répondons par le nom de Dieu, invoqué avec respect, dans le silence des rituels, dans la force des ancêtres.

Tu sortiras de ta bulle.

Tu répondras de tes actes.

La République ne tremble pas devant les cris de l’ombre.

La Côte d’Ivoire ne se reconstruit pas dans la haine, mais dans l’unité.

Les élections ont bien eu lieu.

Le samedi 25 octobre 2025, le peuple a voté.

La démocratie a parlé.

La Nation a avancé. Et nous, femmes ivoiriennes, continuerons à développer notre pays, nos régions, nos cantons, nos villages, à bâtir la paix, à honorer nos morts, à protéger notre avenir. C’est notre mission. C’est notre serment.

C’est notre fierté.

Et puisque tes chefs ont jeté l’éponge,
Reconnaissant que le progrès du pays dépasse leur compétence.

Tu as prêté ta bouche impure pour véhiculer le venin qu’ils te dictent.

Tu veux récupérer le pays comme s’il était en otage, mais tu ne fais que le salir à longueur de journée.

Mais ce que tu ne sais pas, c’est que…
« Quand on crache en l’air, ça finit toujours par retomber sur son propre visage. »
Tu n’as pas le coffre pour ébranler la Côte d’Ivoire.
Tu n’as que le poids de tes propres mensonges.
Et tu as le profil… pour être mise aux arrêts.

Francine Sokoury
Cadre du Grand-Ouragahio
Fille de Bayota.