
Un site identifié pour installer des usines de transformation d’anacarde à Korhogo
La mairie de Korhogo envisage d’aménager une zone industrielle, spécialement pour le regroupement des usines de transformation de l’anacarde qui se signalent de plus en plus dans la commune.
Une équipe du Bureau national d’étude technique et de développement (BNETD) a tenu lundi, à la salle de réunion de la préfecture, une réunion de restitution de l’étude d’impact environnementale de ce projet prévu sur un site de 25 ha dans le village communal de Klokakaha.
L’aménagement de cette zone industrielle permettra d’accroitre les potentialités de transformation de l’anacarde produite dans la région tout en favorisant la création d’emplois et l’augmentation des revenus de la population locale, a affirmé l’émissaire du BNETD, Droh Pélagie.
La localité de Korhogo est l’une des principales zones de production de la noix de cajou en Côte d’Ivoire.
Selon le directeur technique de la mairie de Korhogo, le site a été choisi en accord avec les propriétaires terriens villageois et la notabilité.
Une équipe du Bureau national d’étude technique et de développement (BNETD) a tenu lundi, à la salle de réunion de la préfecture, une réunion de restitution de l’étude d’impact environnementale de ce projet prévu sur un site de 25 ha dans le village communal de Klokakaha.
L’aménagement de cette zone industrielle permettra d’accroitre les potentialités de transformation de l’anacarde produite dans la région tout en favorisant la création d’emplois et l’augmentation des revenus de la population locale, a affirmé l’émissaire du BNETD, Droh Pélagie.
La localité de Korhogo est l’une des principales zones de production de la noix de cajou en Côte d’Ivoire.
Selon le directeur technique de la mairie de Korhogo, le site a été choisi en accord avec les propriétaires terriens villageois et la notabilité.
Korhogo, future zone agro-industrielle de l’anacarde en Côte d’Ivoire
Korhogo, dans le Nord de la Côte d’Ivoire, pourrait accueillir une zone agro-industrielle dédiée à la noix de cajou et à toute la chaîne de valeur dans le but d’améliorer sa compétitivité.
Dans ce cadre, une étude a été lancée la semaine dernière portant notamment sur les questions environnementales et sociales, précise l’AIP.
La future zone agro-industrielle devrait en particulier abriter des industries de transformation de la noix de cajou
L'anacarde est l'une des principales cultures de rente de la région du Poro.
Dans ce cadre, une étude a été lancée la semaine dernière portant notamment sur les questions environnementales et sociales, précise l’AIP.
La future zone agro-industrielle devrait en particulier abriter des industries de transformation de la noix de cajou
L'anacarde est l'une des principales cultures de rente de la région du Poro.
Un groupe vietnamien veut implanter une usine de transformation de l’anacarde en Côte d’Ivoire.
Le groupe Vietnam T& T Vietnamien envisage de construire une usine de transformation de l’anacarde d’une capacité de 50.000 t en Côte d’Ivoire, a annoncé le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde (CCA), Dr Adama Coulibaly.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la promotion d’un programme de coopération portant sur le projet de la création d’une usine de transformation et d’achat de masse de noix de cajou, conclu par le conseil du coton et de l’anacarde et le groupe Vietnam T&T fin décembre 2018.
“Le Conseil du Coton et de l’anacarde s’engage à assurer la disponibilité des matières premières pour répondre aux besoins de T& T groupe en fonction des conditions du marché”, a expliqué le directeur général du Conseil du coton et l’anacarde, Dr Adama Coulibaly.
En dehors de cet accord, la Côte d’Ivoire a planifié un projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde (PPCA), dont la mise en œuvre va aboutir à la créa d’unités de transformation de la noix de cajou dans les villes de Bouaké, Korhogo, Séguéla et Bondoukou”, a t il rappelé.
Ce projet, qui s’étend sur la période de 2018 à 2023, est financé par la Banque mondiale à hauteur de 107 milliards de francs CFA pour permettre à la Côte d’Ivoire, en tant que premier pays producteur africain de la noix de cajou avec 766.000 tonnes, de mettre maintenant le cap sur la transformation de la noix de cajou après les reformes de la filière cajou en 2014.
La Côte d’Ivoire ne transforme en ce moment que 10% de sa production, a-t-on appris.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la promotion d’un programme de coopération portant sur le projet de la création d’une usine de transformation et d’achat de masse de noix de cajou, conclu par le conseil du coton et de l’anacarde et le groupe Vietnam T&T fin décembre 2018.
“Le Conseil du Coton et de l’anacarde s’engage à assurer la disponibilité des matières premières pour répondre aux besoins de T& T groupe en fonction des conditions du marché”, a expliqué le directeur général du Conseil du coton et l’anacarde, Dr Adama Coulibaly.
En dehors de cet accord, la Côte d’Ivoire a planifié un projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde (PPCA), dont la mise en œuvre va aboutir à la créa d’unités de transformation de la noix de cajou dans les villes de Bouaké, Korhogo, Séguéla et Bondoukou”, a t il rappelé.
Ce projet, qui s’étend sur la période de 2018 à 2023, est financé par la Banque mondiale à hauteur de 107 milliards de francs CFA pour permettre à la Côte d’Ivoire, en tant que premier pays producteur africain de la noix de cajou avec 766.000 tonnes, de mettre maintenant le cap sur la transformation de la noix de cajou après les reformes de la filière cajou en 2014.
La Côte d’Ivoire ne transforme en ce moment que 10% de sa production, a-t-on appris.



