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Réhabilitation de la voie Aboisso Noé

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Montage Véhicules IVECO en Côte d’Ivoire.
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Un taux de participation de 37,9 aux législatives en Côte d’Ivoire (CEI).
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POLITIQUE Yamoussoukro/ Elections municipales 2023 : Le RHDP apporte son soutien total à la candidature du ministre Souleymane Diarrassouba.
Cote-d’Ivoire : La CEI condamne des propos « d’une extrême gravité » de Moïse Lida Kouassi.
Stade Félix Houphouët-Boigny (Félicia)
Allocution MR Coulibaly-Kuibiert vote du 6 mars.
Réhabilitation de l’Aéroport de Yamoussoukro pour le Sommet UE-UA.
Affaissement du pont ferroviaire reliant la Côte d’Ivoire et le Burkina.
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Contribution – Alassane Ouattara a-t-il réussi à imposer un nouvel ordre politique en Côte d’Ivoire ?.
L’usine d’anacarde de Toumodi : symbole de l’accélération de la transformation du tissu agro-industriel de la région du Bélier.
Route Ferké Nassian Kong
Projet de développement durable de la pêche et de l’aquaculture
Séitifla/Programme « eau pour tous » (département de Vavoua).
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Le Premier ministre Duncan lance les travaux de réhabilitation de la voie Aboisso Noé

Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a procédé samedi, en présence des autorités administratives, religieuses et traditionnelles de la région du Sud-Comoé, au lancement officiel des travaux de réhabilitation de la route Aboisso- Noé (frontière Ghanéenne).
Les travaux de cette route longue de 60,9 km coûteront 22 milliards de FCFA, financés par la Banque mondiale.
Ces travaux de réhabilitation de la route Aboisso-Noé partiront du pont sur la rivière Bia, à Aboisso, jusqu’au pont sur la rivière Tanoé, à Noé.
Ils consisteront à renforcer la chaussée et aménager des traversées des villes d’Aboisso et de Noé.
La voie sera agrandie avec une chaussée bidirectionnelle revêtue de sept mètres d’Aboisso à Noé.
Cet ambitieux projet s’inscrit dans le cadre de la facilitation du commerce et du transport sur l’axe Abidjan-Lagos, pour favoriser l’expansion ordonnée du commerce inter-états et pour améliorer les infrastructures routières du corridor Abidjan-Lagos, a-t-on expliqué.
"La route Aboisso-Noé est la deuxième section du projet de facilitation du trafic sur le corridor Abidjan-Lagos, mais, elle est une priorité parce qu’elle permettra d’améliorer l’efficacité des échanges avec la sous-région, en attendant la création de l’autoroute Abidjan-Lagos de deux fois trois voies", a indiqué le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi.
Il a ajouté que, juste après les travaux de cette route, commenceront ceux du tronçon Grand-Bassam-Aboisso, long de 69 km.
Quatre-vingt quinze mille habitants, dont 80.000 du département d’Aboisso et 15.000 de la sous-préfecture de Noé, seront les bénéficiaires immédiats des avantages de cette route beaucoup utilisée pendant les crises que la Côte d’Ivoire a connues.
Les surcharges des nombreux gros porteurs et le manque d’entretien ont précipité sa dégradation rapide, souligne-t-on.

Corridor routier Abidjan-Lagos : la Banque africaine de développement accorde plus de 12 millions d’euros supplémentaires

Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement a approuvé, le 17 avril dernier, un financement supplémentaire de 12,33 millions d’euros en faveur de la Commission de la CEDEAO pour couvrir une partie des frais liés à l’étude du projet de développement du corridor autoroutier Abidjan–Lagos.
Ce corridor relie les capitales de cinq États d’Afrique de l’Ouest -Côte d’Ivoire, Ghana, Togo, Bénin et Nigeria- et couvre quelque 1 028 km et huit postes frontières. Le tracé actuel du corridor traverse les grands centres économiques des cinq pays membres participants, à partir de Bingerville, dans la banlieue d’Abidjan, jusqu’à Mile 2 (Eric Moore) à Lagos.
Le projet Abidjan–Lagos, important corridor régional de commerce et de transport, assure la jonction entre des villes dynamiques sur le plan économique en Afrique, à savoir Abidjan, Accra, Cotonou, Lomé et Lagos. Il a pour vocation de renforcer les échanges et l’intégration en Afrique de l’Ouest, notamment en offrant un accès portuaire maritime aux pays enclavés.
Le secteur des transports de l’Afrique de l’Ouest joue un rôle essentiel dans le développement économique de la région et génère environ 5 à 8 % de son produit intérieur brut. Cependant, les déficits d’infrastructures matérielles et immatérielles diminuent considérablement ses retombées dans la croissance économique régionale. L’importance stratégique de ce projet tient au fait que l’axe Abidjan-Lagos pèse pour près de 75 % des activités commerciales sous-régionales.
Cet axe routier rejoint d’autres corridors le long de l’axe Nord-Sud et relie des pays enclavés comme le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Tchad. Il relie non seulement les zones les plus densément peuplées et économiquement actives de la sous-région ouest africaine mais il croise également un réseau ferroviaire et rejoint les principaux ports et aéroports.
Le corridor Abidjan–Lagos est un projet phare du Programme pour le développement des infrastructures en Afrique (PIDA), initiative continentale dont la Banque africaine de développement est l’organe d’exécution. C’est une composante du vaste projet de corridor côtier Dakar–Lagos et constitue un tronçon important du réseau routier transafricain dans la région de la CEDEAO.
C’est lors du 44ème Sommet de la CEDEAO, tenu en mars 2014, qu’un traité sur la mise en place du corridor a été signé. La Commission de la CEDEAO, au nom des cinq pays membres concernés, avait sollicité, à cette occasion, le soutien de la Banque pour le financement des études préparatoires à la réalisation et à la gestion du projet du corridor autoroutier Abidjan–Lagos. La contribution totale de la Banque pour ce projet phare, s’élève à 22,4 millions d’euros.

Autoroute Abidjan-Lagos : la BAD et l'UE donnent une impulsion au laborieux financement.

Dans six mois devrait démarrer la construction du corridor qui connectera Lagos à Abidjan, en passant par plusieurs villes ouest africaines. Plombé par un manque de financement de plusieurs milliards de Fcfa depuis son lancement en 2013, cet ambitieux projet d’autoroute porté par cinq pays africains bénéficiera d’une enveloppe d’un peu plus de 11 milliards de Fcfa. C’est une promesse de la Banque africaine de développement et de l’Union européenne.
Le projet n'a jamais été aussi prêt pour devenir une réalité. Lancé en 2013 par cinq pays africains à savoir le Nigéria, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Togo et le Bénin, le corridor Lagos-Abidjan butait depuis sur des obstacles sérieux, notamment le déblocage des financements. L'investissement nécessaire est estimé par la CEDEAO à deux milliards d'euros, soit 1.310 milliards de Fcfa pour la construction des plus de 1.000 kilomètres de cet axe routier.
Un coup d'accélérateur de 18 millions de dollars
Si les Etats impliqués dans ce projet se sont donnés rendez-vous le 15 décembre pour réunir ce financement, la Banque africaine de développement (BAD), promoteur du projet, et l'Union européenne, viennent d'annoncer le déblocage de 18 millions de dollars pour que débute « dans un court délais » la construction du corridor qui connectera Lagos à Abidjan, en passant par plusieurs villes ouest-africaines, a notamment indiqué l'Agence Ecofin.
Selon toujours la même source qui cite le président de la Commission de la communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest, Marcel Alain de Souza, ces fonds promis ne concernent que la phase opérationnelle du projet. L'étude de faisabilité de l'infrastructure routière qui pourrait démarrer avant la fin du mois de janvier 2018, a été déjà financée par les cinq pays concernés.
Un corridor logistique incontournable
Et dans six mois, précise le président de la Commission de la CEDEAO, devrait démarrer la construction de ce corridor logistique devant assurer la fluidité du trafic entre les capitales africaines impliquées.
« Nous avons discuté avec l'ancien président nigérian, Olusegun Obasanjo et d'autres acteurs du secteur privé pour nous soutenir (...) Espérons donc que la construction commence dans six mois, a déclaré à Ecofin Marcel Alain de Souza ce lundi, 13 novembre avant de déplorer les nombreux retards accusés par le projet.
Si le projet a accusé du retard, il revêt pourtant d'une importance vitale dans la mesure où sa mise en œuvre va faciliter le développement de l'économie régionale en tant que vecteur de l'intégration de l'économie ouest-africaine. Ce corridor desservira en effet les ports maritimes locaux où transitent 90% des exportations et 60% des importations.
« En 42 ans d'intégration, la CEDEAO n'a pas atteint 15% de son objectif et 70% des échanges commerciaux dans la région se font par cet itinéraire », a conclu Alain de Souza.
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