
Le Centre d'Action Culturel d'Abobo (CACAB)
Centre d'Action Culturelle d'Abobo (CACAB)
Le Centre d’Action Culturelle d'Abobo (CACAB) a été construit en 1982 par l’Usaid, une structure américaine d'aide au développement et fonctionne sous la tutelle du Ministère de la Culture et de la francophonie.
Le CACAB occupe une place prépondérante dans la vulgarisation artistique et culturelle au plan communal et national. Il occupe les jeunes à travers sa grande salle de spectacle de 500 places. Le centre d’action culturelle d’Abobo possède une salle de répétition de théâtre et de musique avec un podium de 12 m².
Le CACAB occupe une place prépondérante dans la vulgarisation artistique et culturelle au plan communal et national. Il occupe les jeunes à travers sa grande salle de spectacle de 500 places. Le centre d’action culturelle d’Abobo possède une salle de répétition de théâtre et de musique avec un podium de 12 m².
Première édition « Cinéma pour tous » au Centre d'Action Culturel d'Abobo (CACAB)
Ce jeudi 24 octobre 2019, le Centre d’Action Culturelle d’Abobo (CACAB) a organisé dans le cadre de ses activités, la première édition du « CINÉMA POUR TOUS ». Cette activité d’éveil, d’éducation et de sensibilisation a pour objectif la promotion des valeurs culturelles à travers le film. La cérémonie d’ouverture a eu lieu en présence de Mme Diomandé Lyson Directrice du Cinéma, représentant le Ministre de la Culture et de la Francophonie. Le choix d’une conférence sur le cancer du sein et du col de l’utérus, était pour Mme Bekouan Hortense, Directrice du CACAB un moyen de participer à la sensibilisation sur ce fléau, en ce mois d’octobre rose. Des projections de films et des dépistages volontaires ont meublé la suite de la cérémonie.
Conférence d’échanges entre des imminents maitres chorégraphes et danseurs pour redynamiser la danse.
Le centre d’action culturelle d’Abobo (CACAB), a abrité le lundi 15 avril 2019 une conférence de presse qui a réuni maitres chorégraphes et danseurs pour parler de redynamisation de la danse en prélude à la journée internationale de la danse.
« Comment redynamiser le secteur de la danse en Côte d’Ivoire », c’est le thème autour duquel était concentré les échanges qui a vu la présence des “grosses têtes” de la chorégraphie et de la danse en Côte d’Ivoire. Il s’agit notamment du président du ballet national de Côte d’Ivoire, Georges Monboy, de Bacome niamba, professeur à l’INSAAC et chorégraphe, de l’artiste coupé-décalé et chorégraphe Gadougou la Star, Blagone Si-Lou Nadège et bien d’autres.
L’objectif de cet échange était de trouver des solutions idoines afin d’encadrer les danseurs, leurs donner des conseils pour une meilleure organisation dans le travail pour qu’ils accueillent mieux la journée internationale de la danse et leur trouver des partenariats.
« C’est le public partant la société qui redynamise la danse. Il faut repenser la danse pour que le public y trouve son intérêt. », tel fut les mots du professeur Bacome Nianba. Des propos soutenus par ses confrères. Les efforts à fournir seront donc d’amener le public ivoirien à s’intéresser à ce que propose les danseurs tout en leur permettant de vivre décemment de leur art.
Conférenciers et participants se sont séparés en se donnant rendez-vous le 17 Mai pour un spectacle de danse au CACAB dont les tickets sont déjà disponibles avec les danseurs et chorégraphes d’Abobo et de tout le pays.
« Comment redynamiser le secteur de la danse en Côte d’Ivoire », c’est le thème autour duquel était concentré les échanges qui a vu la présence des “grosses têtes” de la chorégraphie et de la danse en Côte d’Ivoire. Il s’agit notamment du président du ballet national de Côte d’Ivoire, Georges Monboy, de Bacome niamba, professeur à l’INSAAC et chorégraphe, de l’artiste coupé-décalé et chorégraphe Gadougou la Star, Blagone Si-Lou Nadège et bien d’autres.
L’objectif de cet échange était de trouver des solutions idoines afin d’encadrer les danseurs, leurs donner des conseils pour une meilleure organisation dans le travail pour qu’ils accueillent mieux la journée internationale de la danse et leur trouver des partenariats.
« C’est le public partant la société qui redynamise la danse. Il faut repenser la danse pour que le public y trouve son intérêt. », tel fut les mots du professeur Bacome Nianba. Des propos soutenus par ses confrères. Les efforts à fournir seront donc d’amener le public ivoirien à s’intéresser à ce que propose les danseurs tout en leur permettant de vivre décemment de leur art.
Conférenciers et participants se sont séparés en se donnant rendez-vous le 17 Mai pour un spectacle de danse au CACAB dont les tickets sont déjà disponibles avec les danseurs et chorégraphes d’Abobo et de tout le pays.





Culture: Réouverture du centre d’action culturelle d’Abobo réhabilité
Abobo : gros plan sur le centre d’action culturelle