Amadou Gon Coulibaly annonce la réouverture de l’usine d’égrenage de coton de Korhogo.
Le maire de Korhogo, Amadou Gon Coulibaly, a annoncé la réouverture de l’usine d'égrenage de Coton dénommé la Société ivoirienne cotonnière des Savanes (SICOSA) de Korhogo.
Cette annonce a été faite mercredi, à la Saint sylvestre, à l’occasion d’un repas de partage offert par M. Gon Coulibaly à l’intention des différentes couches socioprofessionnelles et des autorités politiques et administratives de la ville de Korhogo.
Selon le secrétaire général à la présidence, cette usine qui va reprendre ses activités au cours de cette campagne de coton, va permettre d’embaucher des jeunes et réintégrer tous les employés qui ont été mis au chômage.
Le premier magistrat de la commune de Korhogo a également annoncé l’inauguration, dans le mois de mars, d’une usine qui traitera la graine de coton pour la fabrication d’huile, ajoutant que « se sera une opportunité d’emploi surtout, pour cette usine qui compte embaucher 240 personnes ».
D’autres projets notamment la transformation de l’anacarde sont également en vue à Korhogo, a-t-il souligné.
Le Conseil municipal de Korhogo a décidé de mettre en place un fonds de 30 millions pour appuyer les jeunes promoteurs de projets bancables, afin de leur accorder des prêts. Ce fonds permettre de faire des prêts à hauteur de 100 millions de Francs avec le soutien de certaines microfiances de la place, a dit le maire.
Tous ces projets, selon lui, montre que la ville de Korhogo s’inscrit dans la vision du chef de l’Etat Alassane Ouattara qui, en ce début d’année, a fait le point des acquis positifs de développement de la Côte d'Ivoire.
« En terme d’infrastructures, nous, à Korhogo, nous sommes témoins de l’avancée notable de ce qui a pu être fait au cours de ces dernières années », a-t-il relevé.
Cette soirée a été l’occasion pour le maire de présenter des vœux de bonheur, de santé et prospérité pour l’année 2015 à l’endroit des populations de Korhogo et de tous ses invités.
Ce repas à la veille du nouvel an, qui est à sa deuxième édition, est un moment de partage et de retrouvailles entre autorités et populations de Korhogo.
Cette annonce a été faite mercredi, à la Saint sylvestre, à l’occasion d’un repas de partage offert par M. Gon Coulibaly à l’intention des différentes couches socioprofessionnelles et des autorités politiques et administratives de la ville de Korhogo.
Selon le secrétaire général à la présidence, cette usine qui va reprendre ses activités au cours de cette campagne de coton, va permettre d’embaucher des jeunes et réintégrer tous les employés qui ont été mis au chômage.
Le premier magistrat de la commune de Korhogo a également annoncé l’inauguration, dans le mois de mars, d’une usine qui traitera la graine de coton pour la fabrication d’huile, ajoutant que « se sera une opportunité d’emploi surtout, pour cette usine qui compte embaucher 240 personnes ».
D’autres projets notamment la transformation de l’anacarde sont également en vue à Korhogo, a-t-il souligné.
Le Conseil municipal de Korhogo a décidé de mettre en place un fonds de 30 millions pour appuyer les jeunes promoteurs de projets bancables, afin de leur accorder des prêts. Ce fonds permettre de faire des prêts à hauteur de 100 millions de Francs avec le soutien de certaines microfiances de la place, a dit le maire.
Tous ces projets, selon lui, montre que la ville de Korhogo s’inscrit dans la vision du chef de l’Etat Alassane Ouattara qui, en ce début d’année, a fait le point des acquis positifs de développement de la Côte d'Ivoire.
« En terme d’infrastructures, nous, à Korhogo, nous sommes témoins de l’avancée notable de ce qui a pu être fait au cours de ces dernières années », a-t-il relevé.
Cette soirée a été l’occasion pour le maire de présenter des vœux de bonheur, de santé et prospérité pour l’année 2015 à l’endroit des populations de Korhogo et de tous ses invités.
Ce repas à la veille du nouvel an, qui est à sa deuxième édition, est un moment de partage et de retrouvailles entre autorités et populations de Korhogo.
L’usine d’égrenage de coton de Korhogo réouverte.
Le maire de Korhogo a annoncé la réouverture de l’usine d’égrenage de Coton dénommé la Société ivoirienne cotonnière des Savanes (SICOSA) de Korhogo.
Cette annonce a été faite ce mercredi 31 décembre 2014. Cette usine qui va reprendre ses activités au cours de cette campagne de coton, va permettre d’embaucher des jeunes et réintégrer tous les employés qui ont été mis au chômage.
Le premier magistrat de la commune de Korhogo a également annoncé l’inauguration, dans le mois de mars, d’une usine qui traitera la graine de coton pour la fabrication d’huile, ajoutant que « ce sera une opportunité d’emploi surtout, pour cette usine qui compte embaucher 240 personnes ».
D’autres projets notamment la transformation de l’anacarde sont également en vue à Korhogo, a-t-il souligné.
Le Conseil municipal de Korhogo a décidé de mettre en place un fonds de 30 millions FCFA pour appuyer les jeunes promoteurs de projets bancables, afin de leur accorder des prêts. Ce fonds va permettre de faire des prêts à hauteur de 100 millions de Francs avec le soutien de certaines microfiances de la place.
Cette annonce a été faite ce mercredi 31 décembre 2014. Cette usine qui va reprendre ses activités au cours de cette campagne de coton, va permettre d’embaucher des jeunes et réintégrer tous les employés qui ont été mis au chômage.
Le premier magistrat de la commune de Korhogo a également annoncé l’inauguration, dans le mois de mars, d’une usine qui traitera la graine de coton pour la fabrication d’huile, ajoutant que « ce sera une opportunité d’emploi surtout, pour cette usine qui compte embaucher 240 personnes ».
D’autres projets notamment la transformation de l’anacarde sont également en vue à Korhogo, a-t-il souligné.
Le Conseil municipal de Korhogo a décidé de mettre en place un fonds de 30 millions FCFA pour appuyer les jeunes promoteurs de projets bancables, afin de leur accorder des prêts. Ce fonds va permettre de faire des prêts à hauteur de 100 millions de Francs avec le soutien de certaines microfiances de la place.
Le coton ivoirien fait sa révolution : "L'or blanc de la Côte d'Ivoire fait vivre 113 547 producteurs agricoles".
Une usine de transformation de la graine de coton en huile de table et en tourteau pour le bétail, en construction à Korhogo (615 Km, au nord d’Abidjan), créera des milliers de postes d’emploi et valorisera les exportations du pays.
Dotée d’une capacité de 90.000 tonnes par an dès son entrée en activité en « janvier 2015 », cette structure servira de pierre angulaire pour ce qu’on appelle « la révolution du coton ivoirien », selon le promoteur de Cotraf SA, Ghazal Ali.
Cet investissement à hauteur de 8 milliards de FCFA (près de 17 millions usd) contribuera à la création de 500 emplois directs et d’un millier de postes indirects, essentiellement dans le nord du pays, selon le promoteur du projet.
Présentée comme étant « la plus performante de l’Afrique de l’Ouest du point de vue technologique », cette usine produira de l’huile à base de la graine de coton mais aussi à base de soja.
Les besoins de la Côte d’Ivoire en huile de table sont estimés à140.000 tonnes par an. L’approvisionnement du marché est jusqu’à présent assuré par la production à base d'huiles de palme, produite dans la région Sud du pays.
Les besoins en tourteau pour le bétail et la volaille s’élèvent, eux, à 35.000 tonnes par an, principalement importées depuis la fermeture de la première usine de trituration oléagineuse à base de graine de coton, Trituraf, installée à Bouake, en mars 1973.
Produit phare du pays, à côté du cacao, du café, de l’hévéa, de la banane douce et de la noix de cajou, le coton est le principal produit agricole destiné à l’industrie textile dans le Nord ivoirien.
Il fait vivre 113 547 producteurs agricoles réunis dans plusieurs structures coopératives. Ces producteurs avaient été démotivés, suite à la libéralisation du secteur en 1998. Leur production a par conséquent baissé déclenchant ainsi une véritable crise de production qui a atteint son point culminant en 2002.
En 2007, une intervention de l’Union Européenne en injectant 7 milliards de FCFA (près de 15 millions usd) a permis de sauver la filière, pour atteindre une production de 360.000 à 385.000 tonnes en 2014.
« La filière a retrouvé sa performance» a confié à Anadolu le président de l’Interprofession du coton, Tuo Lassina.
L’huile de coton produite localement contribuera à la régulation des prix d’achat assez élevés, en raison de l’exportation des besoins en la matière. Tout autant qu’elle permettra aux consommateurs ivoiriens de rompre avec la fraude y afférente» a affirmé Ghazal Ali.
Les principaux grands importateurs de l’or blanc ivoirien sont la Chine, l’Inde, le Pakistan et le Vietnam. En matière de production, la Côte d’Ivoire a pour ambition de se hisser au niveau des deux pays qui la devancent encore dans la sous-région ouest-africaine, à savoir, le Burkina Faso (700.000 tonnes/an) et le Mali (500.000 tonnes/an).
Dotée d’une capacité de 90.000 tonnes par an dès son entrée en activité en « janvier 2015 », cette structure servira de pierre angulaire pour ce qu’on appelle « la révolution du coton ivoirien », selon le promoteur de Cotraf SA, Ghazal Ali.
Cet investissement à hauteur de 8 milliards de FCFA (près de 17 millions usd) contribuera à la création de 500 emplois directs et d’un millier de postes indirects, essentiellement dans le nord du pays, selon le promoteur du projet.
Présentée comme étant « la plus performante de l’Afrique de l’Ouest du point de vue technologique », cette usine produira de l’huile à base de la graine de coton mais aussi à base de soja.
Les besoins de la Côte d’Ivoire en huile de table sont estimés à140.000 tonnes par an. L’approvisionnement du marché est jusqu’à présent assuré par la production à base d'huiles de palme, produite dans la région Sud du pays.
Les besoins en tourteau pour le bétail et la volaille s’élèvent, eux, à 35.000 tonnes par an, principalement importées depuis la fermeture de la première usine de trituration oléagineuse à base de graine de coton, Trituraf, installée à Bouake, en mars 1973.
Produit phare du pays, à côté du cacao, du café, de l’hévéa, de la banane douce et de la noix de cajou, le coton est le principal produit agricole destiné à l’industrie textile dans le Nord ivoirien.
Il fait vivre 113 547 producteurs agricoles réunis dans plusieurs structures coopératives. Ces producteurs avaient été démotivés, suite à la libéralisation du secteur en 1998. Leur production a par conséquent baissé déclenchant ainsi une véritable crise de production qui a atteint son point culminant en 2002.
En 2007, une intervention de l’Union Européenne en injectant 7 milliards de FCFA (près de 15 millions usd) a permis de sauver la filière, pour atteindre une production de 360.000 à 385.000 tonnes en 2014.
« La filière a retrouvé sa performance» a confié à Anadolu le président de l’Interprofession du coton, Tuo Lassina.
L’huile de coton produite localement contribuera à la régulation des prix d’achat assez élevés, en raison de l’exportation des besoins en la matière. Tout autant qu’elle permettra aux consommateurs ivoiriens de rompre avec la fraude y afférente» a affirmé Ghazal Ali.
Les principaux grands importateurs de l’or blanc ivoirien sont la Chine, l’Inde, le Pakistan et le Vietnam. En matière de production, la Côte d’Ivoire a pour ambition de se hisser au niveau des deux pays qui la devancent encore dans la sous-région ouest-africaine, à savoir, le Burkina Faso (700.000 tonnes/an) et le Mali (500.000 tonnes/an).
